La philosophie de le performance sportive et de l'accompagnement...

Elle s’articule autour de différents mots-clés :

Longue distance
Participer à une épreuve sportive de longue distance, avec un objectif de performance, nécessite une période de préparation structurée relativement longue (4 à 6 mois). Cette préparation ne s’improvise pas. Elle doit être intégrée dans un projet collectif (famille, entraîneur) et réclame du plaisir, de la rigueur et de la persévérance. Au cours de sa préparation, l’athlète passera inévitablement par des périodes de doutes, d’inquiétudes, de remises en question… mais aussi des périodes de joies, d’autosatisfactions… Toutes ces étapes sont essentielles et riches de beaucoup d’enseignements.

Confiance
Une relation de confiance entre l’athlète et son entraîneur « à distance » doit être établie et centrée autour d’un projet collectif.

Eduquer
L’entraîneur « à distance » a le devoir de transmettre des savoirs scientifiques, techniques, pratiques… et d’éduquer les athlètes qui ont établi avec lui une relation de confiance. L’athlète doit comprendre les finalités de ses actions et ne pas hésiter à être conseillé par son entraîneur « à distance ». Il est totalement impliqué dans une démarche constructive.

Echanger
Les échanges réguliers d’informations entre l’athlète et son entraîneur « à distance » sont essentiels dans une approche scientifique de l’entraînement et de la performance.

Science
L’entraîneur « à distance » a des convictions issues de ses expériences professionnelles et sportives. Il est à l’interface entre le monde scientifique et le monde sportif. Il doit continuellement chercher à améliorer ses connaissances scientifiques dans le domaine de l’optimisation de la performance sportive et peut être amené à faire évoluer une partie de ses convictions.
Votre entraîneur « à distance » est régulièrement en contact avec des chercheurs scientifiques français et étranger de haut niveau spécialisés en physiologie de l’exercice musculaire (Pr. Véronique Billat) et en nutrition du sportif (Dr. Asker Jeukendrup et Dr. Anne-Sophie Rousseau).

Performance
La performance sportive, quel que soit le niveau de pratique, résulte de la conjugaison de nombreux facteurs que sont le patrimoine génétique, l’entraînabilité, les préparations physique, psychologique, technique et tactique, la récupération, la nutrition, les environnements social et professionnel. La prise en compte de l’ensemble de ces facteurs est essentielle dans une démarche scientifique et méthodologique rigoureuse.

Individualisation
Chaque programme d’entraînement est individualisé en fonction du (ou des) objectif(s) compétitif(s), des contraintes professionnelles et familiales, des indices physiologiques, de l’entraînabilité, du nombre d’années de pratique… Chaque athlète est unique.

Ajuster
La charge d’entraînement doit être ajustée en fonction des réponses adaptatives de l’athlète, de ses sensations, de ses contraintes « imprévus ». L’ajustement nécessite des échanges réguliers d’informations.

Feedbacks
L’analyse des réponses adaptatives « en temps réel » au moyen d’outils spécifiques (cardiofréquencemètre, capteur de puissance, accéléromètre…) permet à l’athlète de contrôler son effort, d’acquérir de l’expérience…
L’analyse des réponses adaptatives « à posteriori » au moyen d’un carnet d’entraînement détaillé, de l’interprétation de courbes de fréquences cardiaques, de puissances développées… permet à l’athlète de mettre en relation la théorie à la pratique, et à son entraîneur « à distance » de mieux le connaître et de pouvoir ajuster de façon optimale sa charge d’entraînement initialement planifiée.

Planification
L’entraînement doit être planifié en fonction de (ou des) l’objectif(s) compétitif(s) majeur(s). La planification est la répartition de cycles d’entraînement spécifiques sur une période clairement identifiée. Le but de la planification est de conduire de façon structurée et progressive l’athlète à son optimum physiologique, psychologique et technique. La planification ne doit pas être figée, parfois elle nécessite des ajustements.

Cycles d’entraînement
L’entraînement doit être planifié en cycles spécifiques : base, surcharge, affûtage, régénération.

Surcharge
La surcharge est un principe d’entraînement qui consiste à provoquer un niveau de stress physiologique, psychologique, biologique, mécanique… inhabituel dans le but d’induire de nouvelles adaptations, et donc l’amélioration de la capacité de performance. Pour cela, la densité, le volume et/ou l'intensité de la charge d’entraînement doivent être augmentées ou modifiées sur une période clairement identifiée.

Charge d’entraînement
La charge d’entraînement, intégrée dans le processus adaptatif, est déterminée par sa nature (charge d’entraînement ou de compétition, charge liée à la séance ou au cycle d’entraînement…), sa grandeur qui peut être appréciée par le volume (durée, distance parcourue, nombre de répétitions), l’intensité, la densité (rapport temps de travail temps de récupération), la fréquence cardiaque, la puissance développée, la lactatémie…, et son orientation qui est définie par la qualité que celle-ci développe (endurance, vitesse, force, souplesse ou coordination) et le système fonctionnel qu'elle sollicite.

Surentraînement
Une surcharge de l’entraînement mal adaptée aux capacités d’adaptation de l’athlète peut conduire à un état de surentraînement. Le surentraînement est un terme générique qui traduit une diminution du niveau et/ou de la capacité de performance en dépit de l’augmentation ou du maintien des charges d’entraînement – et ceci, en l’absence de toute maladie ou blessure susceptibles d’interférer sur la performance – associée ou non à des signes et/ou symptômes cliniques. Le surentraînement reflète ainsi un déséquilibre entre les charges d’entraînement et le processus de récupération.

Récupération
La récupération fait partie intégrante du processus adaptatif de l’entraînement.

Affûtage
L’amélioration de la capacité de performance consécutive à une période de surcharge n’est observable qu’en réponse à une période d’affûtage. L’affûtage de l’entraînement consiste à diminuer progressivement et de façon non linéaire le volume de la charge d’entraînement et de maintenir voir d’augmenter l’intensité sur une période clairement identifiée.

Désentraînement
Afin d’éviter le désentraînement, il est recommandé en période d’affûtage (1) de maintenir voir d’augmenter l’intensité de la charge d’entraînement, et (2) de maintenir une fréquence d’entraînement supérieure à 80%.

Matériel et technique
Le matériel utilisé ainsi que la technique employée participent au processus d’optimisation de la performance. Un matériel inadapté, ou défectueux, peut entraîner des désordres physiques sérieux (tendinites…). Par ailleurs, une technique mal adaptée peut, outre l’altération de l’efficience motrice, être également responsable de ces désordres physiques.

Bilans
Au début et à la fin de sa relation de confiance, l’entraîneur « à distance » établit des bilans. Les bilans physiologique, biologique, nutritionnel… du début de la relation de confiance sont nécessaires à la connaissance de l’athlète, à la détermination d’objectifs de performance cohérents et à l’individualisation de la charge d’entraînement. A la fin de la relation de confiance, un bilan global doit être établit par rapport aux objectifs initiaux et au(x) résultat(s) atteint(s). Ce bilan final est essentiel à la fois pour l’athlète et son entraîneur « à distance ». Il doit leurs permettre d’analyser les points positifs et négatifs et de projeter des objectifs dans l’avenir.

Coaching
C’est plus qu’un plan d’entraînement, c’est une philosophie.

Packs d’entraînement
Votre entraîneur « à distance » propose des packs d’entraînement à options : « Très Haute Performance », « Performance », « Compétition cible ». Chaque pack d’entraînement comprend des services adaptés en fonction des objectifs personnels et de la discipline sportive (Triathlon, Duathlon, Cyclisme, Course à pied).

 



     

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